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La poudre d'or blanc redécouverte
Quittant le Moyen Orient, notre histoire se poursuit en Amérique où, tout à fait par hasard, les mystères de cette science depuis longtemps oubliée ont été redécouverts très récemment. Non seulement le mfkzt a refait surface pour prendre place au premier rang de la recherche en physique quantique, mais les histoires de l'Arche d'Alliance, les récits mettant en scène éclairs de lumière, lévitation et autres attributs divins des textes anciens, sont soudainement devenus des réalités scientifiques modernes. Lhistoire de cette première découverte a été relatée en 1996 dans des articles de NEXUS par l'agriculteur David Hudson de Phoenix, Arizona. Il expliquait que sa terre souffrait dun taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche à leau. Pour corriger cela, (en 1976), il injecta de l'acide sulfurique dans le sol afin de rompre cette croûte et de lui donner une consistance malléable. Mais en analysant les composants qui navaient pas été dissous par lacide, il découvrit quun des matériaux avait des propriétés inhabituelles. Chauffé par le soleil de l'Arizona, ce composant senflammait en un grand éclat de lumière blanche et disparaissait complètement. Cependant, à lanalyse spectroscopique, cette substance se révéla être '' du pur rien '' ! Après des essais infructueux à luniversité de Cornell, un échantillon fut envoyé aux laboratoires Harwell, dans l'Oxfordshire en Angleterre, pour une analyse d'activation neutronique, mais même cela ne permit pas une indentification valable. Finalement, moyennant l'assistance de l'Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme jusque-là inconnue de la science. Au fil de la poursuite de ces recherches, le matériau fut régulièrement chauffé et refroidi, ce qui eut pour effet une fluctuation de son poids gravitationnel. On observa également quà une certaine température, la perle blanche se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique (un seul atome) et quà ce stade son poids diminuait de façon spectaculaire à 56% du poids dorigine. Une montée en température jusquà 1160C transformait cette substance précieuse en un verre merveilleusement clair, tandis que son poids retrouvait les 100% d'origine. Cela semblait impossible, mais lexpérience fut répétée nombre de fois ! Complètement perplexes, les scientifiques poursuivirent leurs investigations. En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l'échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur dorigine; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu'ils retirèrent l'échantillon du plateau, ils saperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau sy trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l'objet qui le contenait. En dautres termes, même le plateau était en lévitation ! Ceci correspondait exactement à lancien texte alchimique alexandrin qui, 2000 ans plus tôt, disait de la Pierre en or du Paradis que : '' la matière surpasse en poids sa quantité d'or d'origine, mais une fois transformée en poudre, elle ne fait pas le poids en balance avec une plume '' . Il fut établi aussi que la substance était un supraconducteur naturel à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud, tout en ayant le pouvoir de lévitation et demmagasiner nimporte quelle quantité de lumière et dénergie. Parvenu à ce stade, David Hudson rencontra le Dr Hal Puthoff, Directeur de lInstitut des Etudes Avancées à Austin, Texas. Dans sa recherche sur l'énergie et la gravité au point zéro en tant que force fluctuante de point zéro, Puthoff avait établi que, lorsque la matière commence à réagir en deux dimensions (comme le faisaient les échantillons dHudson), elle devait théoriquement perdre environ 4 neuvièmes de son poids gravitationnel. Cela représente environ 44%, précisément le chiffre résultant des expériences sur la poudre blanche. Hudson fut donc en mesure de confirmer, par la pratique, la théorie de Puthoff, selon laquelle lorsque la poudre monoatomique passe à un état de supraconductivité, elle naccuse que 56 % de son poids dorigine ; et aussi que lorsqu'elle est chauffée elle peut parvenir à un état gravitationnel inférieur à zéro, si bien quà ce point le plateau pèse moins que lorsqu'il est vide. finalement moyennant l'assistance de lAcadémie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrementcomposée de métaux du groupe platinique sous une formejusque-là inconnue de la science En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gazinertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait léchantillon à un poids incroyable égal à 400 fois savaleur dorigine ; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsquils retirèrent léchantillon du plateau, ils s'aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s'y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à lobjet qui le contenait. Comme la gravité détermine lespace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une '' matière exotique '' , capable dinfléchir l'espace-temps. Cependant la poudre mfkzt devait alors (selon la théorie) entrer en résonance dans une autre dimension, dans quel cas elle devait devenir complètement invisible. Hudson confirma une fois de plus que cétait exactement le cas : léchantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s'annulait. Ce dont il était question, ce nétait pas simplement la disparition visuelle de la substance, mais quelle était littéralement transportée dans un plan alternatif parallèle, une cinquième dimension de lespace-temps. La démonstration en fut faite lorsqu'on tenta de là remuer et de la ramasser avec une spatule, de telle sorte que, lorsquelle réapparaîtrait à la vue, sa position soit différente. Mais cela ne se produisit pas, toute la substance réapparut exactement dans la même position et la même forme quau départ. Rien navait été dérangé pendant la période dinvisibilité, parce qu'il n'y avait plus rien eu de présent dans le plateau. Bref, la substance navait pas été invisible, elle avait en fait modifié son état physique et était passée dans une autre dimension. Le Dr Puthoff expliqua que c'était analogue à la différence entre un avion furtif, qui ne peut être détecté par les radars, et un aéronef qui serait carrément passé dans une autre dimension. Ceci donc, est la dimension supraconductrice de l'Orbite de la Lumière ou, comme il est écrit sur les tombes égyptiennes, Du Champ de Mfkzt. Au début des années 1990, des articles concernant les atomes furtifs et la supraconductivité commencèrent à être publiés très régulièrement dans la presse scientifique. LInstitut Niels Bohr à luniversité de Copenhagen, ainsi que les Argonne National Laboratories à Chicago et le National Laboratory Oak Ridge, au Tennissee, dépendants du Département US de lEnergie, confirmèrent tous que les éléments découverts par Hudson existaient certainement en létat monoatomique. Ceux-ci incluaient l'or et le groupe des métaux platiniques : liridium, le rhodium, le palladium, le platine, losmium et le ruthénium. En déposant ses brevets, Hudson fit classer les substances en tant qu'Eléments Monoatomiques à Réarrangement Orbital (EMRO) [Ndt : ORME en anglais], et la terminologie scientifique décrivant le phénomène monoatomique est : '' haut-spin déformé assymétriquement ''. Ces substances sont supraconductrices parce que les atomes à haut-spin peuvent transmettre l'énergie de l'un à lautre sans aucune perte.
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